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Date de création : 08.07.2007
Dernière mise à jour :
16.11.2022
5434 articles
NOTRE-DAME des DOULEURS
La fête de Notre-Dame des Douleurs a pour but de nous rappeler le martyre inouï qu'endura la Vierge Marie par son adhésion entière à l'œuvre rédemptrice de son Fils pour le salut du genre humain. L'Église honore en ce jour ses incomparables douleurs, spécialement celles qu'elle ressentit au pied de la croix au moment de la consommation du mystère de notre Rédemption. Après s'être concentrée sur le déchirement de l'âme de Marie au jour de la Passion de son Fils, jour où ses souffrances atteignirent leur maximum d'intensité, la piété des fidèles s'est étendue à d'autres douleurs que la divine Mère éprouva à différentes occasions de sa très sainte vie.
Pour illustrer les douleurs de la Vierge-Mère, les peintres représentent son cœur percé de sept glaives, symbole des sept principales douleurs de la Mère de Dieu, qui la couronnèrent Reine des martyrs. Voici la liste de ces sept douleurs dont le souvenir est cher aux enfants de Marie :
1. La prophétie du saint vieillard Siméon.
2. La fuite en Égypte.
3. La disparition de Jésus au Temple pendant trois jours.
4. La rencontre de Jésus portant sa croix et montant au Calvaire.
5. Marie debout au pied de la croix.
6. La descente de Jésus de la croix et la remise à sa Mère.
7. L'ensevelissement de Jésus dans le sépulcre.

Mère de l'espérance
L'espérance est la deuxième vertu théologale
Sainte Marie..., le vieillard Syméon t'a parlé de l'épée qui transpercerait ton cœur (Lc 2,35), du signe de contradiction que ton Fils serait dans ce monde. Quand ensuite l'activité publique de Jésus a commencé, tu as dû te mettre à l'écart, afin que puisse grandir la nouvelle famille...de ceux qui écouteraient et observeraient sa parole (Lc 11,27). Malgré toute la grandeur et la joie des débuts de l'activité de Jésus, déjà dans la synagogue de Nazareth, tu as dû faire l'expérience de la vérité de la parole sur le « signe de contradiction » (cf Lc 4,28s). Ainsi tu as vu le pouvoir grandissant de l'hostilité et du refus qui progressivement allait s'affirmant autour de Jésus jusqu'à l'heure de la croix, où tu devais voir le Sauveur du monde, l'héritier de David, le Fils de Dieu, mourir comme quelqu'un qui a échoué, exposé à la risée, parmi les malfaiteurs.
Tu as alors accueilli la parole : « Femme, voici ton fils ». De la croix tu as reçu une nouvelle mission. À partir de la croix tu es devenue mère d'une manière nouvelle : mère de tous ceux qui veulent croire en ton Fils Jésus et le suivre. L'épée de douleur a transpercé ton cœur. L'espérance était-elle morte ? Le monde était-il resté définitivement sans lumière, la vie sans but ? À cette heure, probablement, au plus intime de toi-même, tu as écouté de nouveau la parole de l'ange, par laquelle il avait répondu à ta crainte au moment de l'Annonciation : « Sois sans crainte, Marie » (Lc 1,30). Que de fois le Seigneur, ton fils, avait dit la même chose à ses disciples !...
À l'heure de Nazareth l'ange t'avait dit aussi : « Son règne n'aura pas de fin » (Lc 1,33). Il était peut-être fini avant de commencer ? Non, près de la croix...tu es devenue la mère des croyants. Dans cette foi..., tu es allée à la rencontre du matin de Pâques ; la joie de la résurrection a touché ton cœur et t'a unie de manière nouvelle aux disciples... Le règne de Jésus était différent de ce que les hommes avaient pu imaginer. Ce règne commençait à cette heure et n'aura jamais de fin. Ainsi tu demeures au milieu des disciples (cf Ac 1,14) comme leur Mère, comme Mère de l'espérance.
Pape Benoît XVI
Encyclique « Spe salvi » § 50 (trad. © copyright Libreria Editrice Vaticana rev.)
Evangile du 15 septembre Notre Dame des Sept Douleurs
Diffusion de l'Évangile selon le calendrier catholique Romain, sous sa forme extraordinaire (calendrier Tridentin de 1962), incluant le propre de France
Notre Dame des Sept Douleurs
15 septembre
Livre de Judith 13,22-25.
Le Seigneur t'a bénie dans sa force, car par toi il a réduit à néant tous nos ennemis.
Ma fille, tu es bénie par le Seigneur, le Dieu très haut, plus que toutes les femmes qui sont sur la terre.
Béni soit le Seigneur, créateur du ciel et de la terre, qui a conduit ta main pour trancher la tête au plus grand de nos ennemis !
Il a rendu aujourd'hui ton nom si glorieux, que ta louange ne disparaîtra pas de la bouche des hommes, qui se souviendront éternellement de la puissance du Seigneur ; car, en leur faveur, tu n'as pas épargné ta vie en voyant les souffrances et la détresse de ta race, mais tu nous a sauvés de la ruine en marchant dans la droiture en présence de notre Dieu.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 19,25-27.
En ce temps-là, près de la croix de Jésus se tenaient sa mère et la sœur de sa mère, Marie, femme de Cléophas, et Marie-Madeleine.
Jésus ayant vu sa mère, et auprès d'elle le disciple qu'il aimait, dit à sa mère : "Femme, voilà votre fils."
Ensuite il dit au disciple : "Voilà votre mère." Et depuis cette heure-là, le disciple la prit chez lui.
Bienheureux Guerric d'Igny (v. 1080-1157), abbé cistercien
1er Sermon pour l'Assomption ; PL 185A,187 (trad. Orval)
« Voici ta mère »
Marie a engendré un fils ; et comme celui-ci est le Fils unique du Père dans les cieux, il est le fils unique de sa mère sur la terre... Cependant cette seule vierge mère, qui a eu la gloire de mettre au monde le Fils unique de Dieu embrasse ce même Fils dans tous les membres de son Corps et ne rougit pas d'être appelée la mère de tous ceux en qui elle reconnaît le Christ déjà formé ou sur le point de l'être. Ève, qui jadis a légué à ses enfants la condamnation à mort avant même qu'ils aient vu le jour, a été appelée « la mère des vivants » (Gn 3,20)... Mais puisqu'elle n'a pas répondu au sens de son nom, c'est Marie qui en a réalisé le mystère. Comme l'Église dont elle est le symbole, elle est la mère de tous ceux qui sont renés à la vie. Elle est vraiment la mère de la Vie qui fait vivre tous les hommes ; et en l'engendrant elle a en quelque sorte régénéré tous ceux qui allaient en vivre...
Cette bienheureuse mère du Christ, qui se sait mère des chrétiens en raison de ce mystère, se montre aussi leur mère par le soin qu'elle prend d'eux et l'affection qu'elle leur témoigne. Elle n'est pas dure envers eux comme s'ils n'étaient pas à elle. Ses entrailles fécondées une seule fois, mais non pas épuisées, ne cessent d'enfanter le fruit de la bonté. « Le fruit béni de ton sein » (Lc 1,42), douce mère, t'a laissée toute remplie d'une bonté inépuisable : né de toi une seule fois, il demeure toujours en toi.