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Par Anonyme, le 27.08.2022
notre dame de guadeloupe,
je dépose à tes pieds mes demandes, mes supplications, mes démarches et surtout l'
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maman marie aide moi à obtenir ma retraite et debloque mes finances amen
Par Anonyme, le 05.11.2021
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Par Anonyme, le 25.10.2021
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Date de création : 08.07.2007
Dernière mise à jour :
16.11.2022
5434 articles
« Si quelqu’un se croit quelque chose, alors qu’il n’est rien, il s’abuse lui-même»
(Gal 6, 3)
Le C.E.P. (Centre d'Etudes et de Prospective sur la science) se propose de coordonner les différentes sciences, considérées sans oeillères idéologiques réductrices, et de le faire à la lumière des vérités révélées, afin de rétablir ainsi un pont nécessaire entre la Science et la Foi.
Le prochain colloque se tiendra à Nevers les 1 et 2 octobre prochain,
Théme : Le piège du moi
« Si quelqu’un se croit quelque chose, alors qu’il n’est rien, il s’abuse lui-même»
(Gal 6, 3)
Cloisonnés dans leurs discipline et bridés par leurs théories, les hommes de science parviennent souvent mal à entrevoir le sens de leurs recherches. De plus en plus, c'est de sens que le monde a besoin en ce début de millénaire, anxieux qu'il est de savoir où le mènent des découvertes toujours plus perfectionnées et plus dangereuses. Le sens seul permet de s'élever jusqu'à la contemplation d'un ordre intégrant toutes les vérités, lesquelles se tiennent et s'appellent mutuellement.
De même que l'ingénieur connaît le mieux le fonctionnement de l'objet qu'il a conçu, ainsi qui est le plus à même de nous renseigner sur l'Univers, sur son contenu et sur la loi qui le régit, sinon son créateur ? En imposant d'étudier la nature, les sociétés et leur histoire comme si Dieu n'existait pas, un laïcisme mal compris a privé les chercheurs des lumières les plus hautes, donc les plus utiles en définitive. Alors que des hypothèses extravagantes ont droit de cité, on refuse d'office, avant même de les examiner, les précieuses indications laissées par l'Esprit Saint dans le texte le plus vénéré de l'histoire humaine.
Il y a là un préjugé aussi antiscientifique dans son fondement que stérilisant pour la science elle-même et dévalorisant pour la Religion.
Le C.E.P. se propose, tout à l'inverse, de coordonner les différentes sciences, considérées sans oeillères idéologiques réductrices, mais de le faire à la lumière des vérités révélées, afin de rétablir ainsi un pont nécessaire entre la Science et la Foi.
Diffusion de l'Évangile selon le calendrier catholique Romain, sous sa forme extraordinaire (calendrier Tridentin de 1962), incluant le propre de France
7 septembre
Sainte Reine
Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 3,4-9.
Frères, si nous avons une telle assurance devant Dieu, c'est grâce au Christ.
Ce n'est pas que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes ; mais notre aptitude vient de Dieu.
C'est lui également qui nous a rendus capables d'être ministres d'une novelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie.
Or, si le ministère de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été entouré de gloire au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer leurs regards sur la face de Moïse à cause de l'éclat de son visage, tout passager qu'il fût,
combien plus le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas entouré de gloire ?
C'est qu'en effet, si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère qui confère la justice le surpasse de beaucoup.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 10,23-37.
En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : " Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
Car, je vous le dis, beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous, vous voyez, et ne l'ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l'ont pas entendu. "
Et voici qu'un docteur de la Loi se leva, et, pour l'embarrasser, lui dit : " Maître, que dois-je faire pour posséder la vie éternelle ? "
Il lui dit : " Qu'y a-t-il d'écrit dans la Loi ? Qu'y lis-tu ? "
Il répondit : " Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton proche comme toi-même. "
Il lui dit : " Tu as bien répondu : fais cela et tu vivras. "
Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus : " Et qui est mon proche ? "
Jésus reprit et dit : " Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho ; il tomba entre les mains de brigands qui, après l'avoir dépouillé et chargé de coups, s'en allèrent, le laissant à demi-mort.
Or, par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa outre.
De même un lévite aussi vint en ce lieu, le fit et passa outre.
Mais un Samaritain, qui était en voyage, vint près de lui, le vit et fut touché de compassion.
Il s'approcha, banda ses blessures, y versant de l'huile et du vin ; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une hôtellerie et prit soin de lui.
Le lendemain, tirant deux deniers, il les donna à l'hôtelier et lui dit : " Prends soin de lui, et ce que tu pourrais dépenser en plus, c'est moi qui te le rembourserai à mon retour. "
Lequel de ces trois te semble avoir été le proche de l'homme qui était tombé aux mains des brigands ? "
Il dit : " Celui qui a pratiqué la miséricorde envers lui. " Et Jésus lui dit : " Va, toi aussi fais de même. "
Saint Ephrem (v. 306-373), diacre en Syrie, docteur de l'Église
Commentaire du Diatessaron, ch. 16, 9/23 ; SC 121
Le Christ vient au secours de l'humanité blessée
« ' Quel est le grand et le premier commandement de la Loi ? ' Jésus lui répond : ' Tu aimeras le Seigneur ton Dieu, et ton prochain comme toi-même ' » (Mt 22,36-39). L'amour de Dieu nous épargne la mort, et l'amour de l'homme le péché, car personne ne pèche contre celui qu'il aime. Mais quel est le cœur qui puisse posséder en plénitude l'amour pour ses proches ? Quelle est l'âme qui puisse faire fructifier en elle, à l'égard de tout le monde, l'amour semé en elle par ce précepte : « Aime ton prochain comme toi-même » ? Nos moyens sont incapables, par eux seuls, d'être les instruments de cette volonté rapide et riche de Dieu : seul y suffit le fruit de la charité semé par Dieu lui-même.
Dieu peut, de par sa nature, accomplir tout ce qu'il veut ; or il veut donner la vie aux hommes. Les anges, les rois et prophètes...sont passés, mais les hommes n'ont pas été sauvés –- jusqu'à ce que descende des cieux Celui qui nous tient par la main et qui nous ressuscite.
Diffusion de l'Evangile selon le calendrier catholique Romain, sous sa forme extraordinaire (calendrier Tridentin de 1962)
6 septembre
Saint Bertrand
Deuxième lettre de saint Paul Apôtre aux Corinthiens 3,4-9.
Frères, si nous avons une telle assurance devant Dieu, c'est grâce au Christ.
Ce n'est pas que nous soyons par nous-mêmes capables de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes ; mais notre aptitude vient de Dieu.
C'est lui également qui nous a rendus capables d'être ministres d'une novelle alliance, non de la lettre, mais de l'esprit ; car la lettre tue, mais l'esprit vivifie.
Or, si le ministère de la mort, gravé en lettres sur des pierres, a été entouré de gloire au point que les fils d'Israël ne pouvaient fixer leurs regards sur la face de Moïse à cause de l'éclat de son visage, tout passager qu'il fût,
combien plus le ministère de l'esprit ne sera-t-il pas entouré de gloire ?
C'est qu'en effet, si le ministère de la condamnation a été glorieux, le ministère qui confère la justice le surpasse de beaucoup.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Luc 10,23-37.
En ce temps-là, Jésus dit à ses disciples : " Heureux les yeux qui voient ce que vous voyez !
Car, je vous le dis, beaucoup de prophètes et de rois ont voulu voir ce que vous, vous voyez, et ne l'ont pas vu, entendre ce que vous entendez, et ne l'ont pas entendu. "
Et voici qu'un docteur de la Loi se leva, et, pour l'embarrasser, lui dit : " Maître, que dois-je faire pour posséder la vie éternelle ? "
Il lui dit : " Qu'y a-t-il d'écrit dans la Loi ? Qu'y lis-tu ? "
Il répondit : " Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout cœur, de toute ton âme, de toute ta force et de tout ton esprit, et ton proche comme toi-même. "
Il lui dit : " Tu as bien répondu : fais cela et tu vivras. "
Mais lui, voulant se justifier, dit à Jésus : " Et qui est mon proche ? "
Jésus reprit et dit : " Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho ; il tomba entre les mains de brigands qui, après l'avoir dépouillé et chargé de coups, s'en allèrent, le laissant à demi-mort.
Or, par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa outre.
De même un lévite aussi vint en ce lieu, le fit et passa outre.
Mais un Samaritain, qui était en voyage, vint près de lui, le vit et fut touché de compassion.
Il s'approcha, banda ses blessures, y versant de l'huile et du vin ; puis il le mit sur sa propre monture, le conduisit dans une hôtellerie et prit soin de lui.
Le lendemain, tirant deux deniers, il les donna à l'hôtelier et lui dit : " Prends soin de lui, et ce que tu pourrais dépenser en plus, c'est moi qui te le rembourserai à mon retour. "
Lequel de ces trois te semble avoir été le proche de l'homme qui était tombé aux mains des brigands ? "
Il dit : " Celui qui a pratiqué la miséricorde envers lui. " Et Jésus lui dit : " Va, toi aussi fais de même. "
Origène (v. 185-253), prêtre et théologien
Commentaire sur le Cantique des Cantiques, prologue 2, 26-31 (trad. cf SC 375, p. 111s)
« Va, et toi aussi, fais de même »
Il est écrit : « Aimons-nous les uns les autres, car l'amour est de Dieu » (1Jn 4,7) et peu après « Dieu est amour » (v. 8). Par là on montre à la fois que Dieu lui-même est amour et que celui qui est de Dieu est amour. Or, qui est de Dieu sinon celui qui dit : « Je suis sorti de Dieu et je suis venu dans le monde » ? (Jn 16,28) Si Dieu le Père est amour, le Fils aussi est amour...; le Père et le Fils sont un et ne diffèrent en rien. Voilà pourquoi c'est à bon droit que le Christ, au même titre que Sagesse, Puissance, Justice, Verbe, et Vérité est encore appelé Amour...
Et parce que Dieu est amour et que le Fils qui est de Dieu est amour, il exige en nous quelque chose de semblable à lui, en sorte que par cet amour, cette charité, qui est dans le Christ Jésus..., nous soyons unis à lui par une sorte de lien de parenté grâce à ce nom. Comme le disait Paul, qui lui était uni : « Qui nous séparera de l'amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus notre Seigneur ? » (Rm 8,39)
Or cet amour de charité estime que tout homme est notre prochain. C'est pour cette raison que le Sauveur a repris un homme qui croyait que l'âme juste n'est pas tenu d'observer les lois de la condition de prochain envers tous... Il a composé la parabole qui dit : « Un homme tomba entre les mains de brigands quand il descendait de Jérusalem à Jéricho ». Il blâme le prêtre et le lévite, qui le voyant à demi-mort, sont passés outre, mais il rend hommage au Samaritain qui a pratiqué la miséricorde. Et il fait confirmer que ce dernier a été le prochain de l'homme blessé par la réponse de celui même qui avait posé la question et lui dit : « Va, et fais de même ». Par nature, en effet, nous sommes tous le prochain les uns des autres, mais par les œuvres de charité, celui qui peut faire du bien se fait le prochain de celui qui ne le peut pas. C'est pourquoi notre Sauveur s'est fait notre prochain et n'est pas passé outre devant nous quand nous gisions « à demi-morts » par suite des « blessures dues aux brigands ».
Diffusion de l'Évangile selon le calendrier catholique Romain, sous sa forme extraordinaire (calendrier Tridentin de 1962)
St Pie X, pape et confesseur
3 septembre
Saint Pie X, pape et confesseur († 1914)
Première lettre de saint Paul Apôtre aux Thessaloniciens 2,2-8.
Mes frères : Nous sommes venus avec confiance vous prêcher l'évangile de Dieu avec sollicitude.
Car notre prédication n'a pas procédé de l'erreur, ni d'une intention vicieuse, ni de fraude aucune ; mais selon que Dieu nous a jugés dignes de nous confier l'Evangile, ainsi enseignons-nous, non comme pour plaire à des hommes, mais à Dieu, qui sonde nos cœurs.
Jamais, en effet, nos discours n'ont été inspirés par la flatterie, comme vous le savez, ni par un motif de cupidité, Dieu en est témoin.
La gloire humaine, nous ne l'avons recherchée ni de vous ni de personne ; alors que nous aurions pu, comme apôtres du Christ, prétendre à quelque autorité, nous avons été au contraire plein de condescendance au milieu de vous. Comme une nourrice entoure de tendres soins ses enfants, ainsi, dans notre affection pour vous, nous aurions voulu vous donner, non seulement l'Evangile de Dieu, mais notre vie même, tant vous nous étiez devenus chers.
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 21,15-17.
En ce temps-là, Jésus dit à Simon-Pierre : " Simon, fils de Jean, m'aimes-tu plus que ceux-ci ?" Il lui répondit : "Oui, Seigneur, vous savez que je vous aime." Jésus lui dit : "Pais mes agneaux."
Il lui dit une seconde fois : "Simon, fils de Jean, m'aimes-tu ?" Pierre lui répondit : " Oui, Seigneur, vous savez bien que je vous aime." Jésus lui dit : "Pais mes agneaux."
Il lui dit pour la troisième fois : "M'aimes-tu ?" et il lui répondit : "Seigneur, vous connaissez toutes choses, vous savez bien que je vous aime." Jésus lui dit : "Pais mes brebis."
Saint Augustin (354-430), évêque d'Hippone (Afrique du Nord) et docteur de l'Église
Sermons sur saint Jean, 122, 2-4 ; 123, 5 (Véricel, L'Evangile commenté, p. 350-351)
« Sois le pasteur de mes brebis »
Le Seigneur demande à Pierre s'il l'aime, ce qu'il savait déjà ; et il le lui demande non pas une fois, mais deux et même trois. Et chaque fois Pierre répond qu'il l'aime ; et chaque fois Jésus lui confie le soin de faire paître ses brebis. A son triple reniement répond ici une triple affirmation d'amour. Il faut que sa langue serve son amour, comme elle a servi sa peur ; il faut que sa parole témoigne aussi clairement devant la vie qu'elle l'a fait devant la mort. Il faut qu'il donne une preuve de son amour en s'occupant du troupeau du Seigneur, comme il en a donné de sa crainte en reniant le Pasteur.
Il devient évident que ceux qui s'occupent des brebis du Christ avec l'intention d'en faire leurs brebis plutôt que celles du Christ ont de l'affection pour eux au lieu d'en avoir pour le Christ. C'est le désir de la gloire, de la domination ou du profit qui les conduit, et non le désir aimant d'obéir, de secourir et de plaire à Dieu. Cette parole trois fois répétée par le Christ condamne ceux que l'Apôtre gémit de voir chercher leurs intérêts plutôt que ceux de Jésus-Christ (Ph 2,21). Que signifient, en effet, ces paroles : « M'aimes-tu ? Pais mes brebis » ? C'est comme s'il disait : Si tu m'aimes, ne t'occupe pas de toi, mais de mes brebis ; regarde-les non comme les tiennes, mais comme les miennes ; en elles, cherche ma gloire, et non la tienne ; mon pouvoir, et non le tien ; mes intérêts, et non les tiens... Ne nous préoccupons donc pas de nous-mêmes; aimons le Seigneur et, en nous occupant de ses brebis, recherchons l'intérêt du Seigneur sans nous inquiéter du nôtre.